Lucien Clergue, Nu zébré, New York, 1997 © Lucien Clergue / SAIF 2024
Le musée vous propose de regarder l’œuvre de Lucien Clergue avec un œil différent : celui du public !
Une vingtaine de personnalités, arlésiennes de naissance ou d’attache, issues du monde de la culture ou du commerce, artistes ou artisans, a accepté de répondre à une question simple : si vous ne deviez retenir qu’une seule image dans l’œuvre de Lucien Clergue, laquelle serait-elle ? Les participants ont ainsi choisi, chacun, une photographie et exprimé, avec leurs propres mots, les raisons pour lesquelles elle résonne avec leur vécu personnel, leurs souvenirs et leurs goûts artistiques.
> Avec la participation de l’atelier Lucien Clergue
Une vingtaine de personnalités, arlésiennes de naissance ou d’attache, issues du monde de la culture ou du commerce, artistes ou artisans, a accepté de répondre à une question simple : si vous ne deviez retenir qu’une seule image dans l’œuvre de Lucien Clergue, laquelle serait-elle ? Les participants ont ainsi choisi, chacun, une photographie et exprimé, avec leurs propres mots, les raisons pour lesquelles elle résonne avec leur vécu personnel, leurs souvenirs et leurs goûts artistiques.
> Avec la participation de l’atelier Lucien Clergue
ARLES MODERNE - Nouvel accrochage des collections de 1940 à 1969
Brassaï, Sévillane dénudée, portfolio Les Transmutations, 1934-1935 © Brassaï - Grand Palais - RMN 2024
Le musée rouvre un chapitre quelque peu oublié de son histoire avec l’arrivée d’un conservateur dont l’énergie et l’ambition vont faire souffler un vent nouveau sur l’institution : Jacques Latour.
L’accrochage propose une relecture de cette « conquête de l’art moderne » en mettant en lumière des œuvres exposées et acquises par Jacques Latour et Jean Maurice Rouquette (peintures, dessins, gravures, sculptures, photographies), ainsi que des documents d’époque puisés dans les archives du musée. Une manière de traverser, à l’échelle arlésienne, différents courants de l’histoire de l’art du XXe siècle – néo-impressionnisme, cubisme, surréalisme, abstraction – et de distinguer les thèmes qui vont structurer le renouvellement de la collection du musée au sortir de la Seconde Guerre mondiale : représenter la Provence, réinventer les arts décoratifs et l’art sacré, créer un dialogue entre photographie et arts plastiques.
Vernissage le vendredi 8 novembre à 19h
L’accrochage propose une relecture de cette « conquête de l’art moderne » en mettant en lumière des œuvres exposées et acquises par Jacques Latour et Jean Maurice Rouquette (peintures, dessins, gravures, sculptures, photographies), ainsi que des documents d’époque puisés dans les archives du musée. Une manière de traverser, à l’échelle arlésienne, différents courants de l’histoire de l’art du XXe siècle – néo-impressionnisme, cubisme, surréalisme, abstraction – et de distinguer les thèmes qui vont structurer le renouvellement de la collection du musée au sortir de la Seconde Guerre mondiale : représenter la Provence, réinventer les arts décoratifs et l’art sacré, créer un dialogue entre photographie et arts plastiques.
Vernissage le vendredi 8 novembre à 19h
MUSÉE DES BEAUX-ARTS DE LA VILLE D'ARLES
ANCIEN GRAND PRIEURÉ DE L'ORDRE DE MALTE
10, rue du Grand Prieuré
13200 ARLES
+ 33 (0)4 90 49 37 58
ANCIEN GRAND PRIEURÉ DE L'ORDRE DE MALTE
10, rue du Grand Prieuré
13200 ARLES
+ 33 (0)4 90 49 37 58